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Interdire les smartphones pour les moins de 16 ans : les enfants devraient se voir interdire l'utilisation des smartphones pour le bien de leur santé mentale
Selon le Premier ministre britannique

Le , par Jade Emy

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6  0 
Un projet de loi californien vise à tenir les plateformes de médias sociaux responsables des dommages causés aux enfants
et permettra aux parents des victimes d'intenter un procès

Deux législateurs californiens proposent un projet de loi qui permettrait aux plateformes de médias sociaux comme Instagram et TikTok d'être poursuivies pour avoir manipulé des enfants afin qu'ils utilisent leur produit. Selon ce projet de loi, les plateformes de médias sociaux devraient avoir le devoir de ne pas rendre les enfants accros aux médias sociaux. Les législateurs veulent que les entreprises cessent d'utiliser les données personnelles des enfants et les techniques destinées à les rendre dépendants.

Le projet de loi 2408 de l'Assemblée, ou loi sur le devoir des plateformes de médias sociaux envers les enfants, a été présenté par le républicain Jordan Cunningham de Paso Robles et la démocrate Buffy Wicks d'Oakland, avec le soutien du Children’s Advocacy Institute de la faculté de droit de l'Université de San Diego. Il s'agit de la dernière action d'une série d'efforts législatifs et politiques visant à réprimer l'exploitation par les plateformes de médias sociaux de leurs plus jeunes utilisateurs.

« Certaines de ces entreprises conçoivent en effet intentionnellement des fonctionnalités dans leurs applications (qu'elles savent que les enfants utilisent) qui poussent les enfants à les utiliser de plus en plus, et à montrer des signes de dépendance. La question qui se pose à moi est donc la suivante : qui doit payer le coût social de cette situation ? Doit-il être supporté par les écoles, les parents et les enfants, ou doit-il être supporté en partie par les entreprises qui ont profité de la création de ces produits ? », a déclaré Cunningham dans une interview.

« Nous faisons cela avec tout produit que vous vendez aux enfants. Vous devez vous assurer qu'il est sûr. Un animal en peluche ou un objet que vous vendez à des parents qui vont le mettre dans le lit de leur enfant de cinq ans ne doit pas contenir de produits chimiques toxiques… En tant que société, nous ne l'avons pas encore fait en ce qui concerne les médias sociaux. Et je pense que le moment est venu de le faire », a-t-il ajouté.

Les documents de presse du Children's Advocacy Institute expliquent que le projet de loi obligera d'abord les entreprises de médias sociaux à ne pas rendre les enfants utilisateurs dépendants (en modifiant si nécessaire leurs caractéristiques de conception et leurs pratiques de collecte de données) puis donnera aux parents et aux tuteurs le pouvoir d'intenter une action en justice au nom de tout enfant lésé par des entreprises qui ne se conforment pas à la loi. Les dommages et intérêts pourraient s'élever à 1 000 dollars ou plus par enfant dans le cadre d'un recours collectif ou à 25 000 dollars par enfant et par an dans le cadre d'une sanction civile, selon l'institut.

Cependant, il y aura également une clause de sauvegarde qui protégerait les plateformes de médias sociaux « responsables » d'être pénalisées si elles prenaient « des mesures de base pour éviter de rendre les enfants dépendants ». Les entreprises dont le chiffre d'affaires est inférieur à 100 millions de dollars par an seraient également exclues. « Je pense que vous verrez toute une série de solutions de conformité potentielles. Certaines entreprises pourraient cesser de laisser les enfants s'inscrire ; c'est probablement la chose la plus sûre à faire. Mais je ne sais pas si elles vont le faire. Quelles que soient les caractéristiques de leurs algorithmes qui créent des dépendances, en particulier chez les adolescents, elles peuvent les désactiver. Cela pourrait être une autre solution », a déclaré Cunningham.

Les appels à réglementer les entreprises de médias sociaux se sont faits de plus en plus pressants ces dernières années, soutenus par une réaction de plus en plus vive contre des entreprises telles que Twitter, TikTok et Meta. Les critiques se sont concentrées sur des problèmes tels que la collecte des données des utilisateurs par ces sociétés, leur rôle dans l'élaboration du discours public et leurs décisions largement unilatérales sur la manière de modérer, ou non, le contenu des utilisateurs.

Mais l'effet qu'elles ont sur les enfants est un sujet particulièrement sensible, qui s'est avéré particulièrement propice à une collaboration entre les différents partis. La question a atteint un point culminant à la fin de l'année dernière, lorsque Frances Haugen, dénonciatrice et ancienne employée de Facebook, a divulgué des documents indiquant que l'entreprise savait à quel point sa plateforme Instagram pouvait avoir un impact négatif sur la santé mentale des jeunes utilisateurs, notamment en ce qui concerne les adolescentes et les problèmes d'image corporelle. À la suite des fuites de Mme Haugen et de son témoignage devant le Congrès, les critiques bipartites à l'égard de Big Tech se sont concentrées sur l'effet des médias sociaux sur les utilisateurs mineurs.


Ce mois-ci, le procureur général de Californie, Rob Bonta, a contribué au lancement d'une enquête multiétatique sur la façon dont TikTok pourrait s'attaquer aux enfants. Quelques mois plus tôt, Bonta avait lancé une enquête similaire sur Instagram, également axée sur les jeunes utilisateurs. En novembre, le procureur général de l'Ohio a poursuivi Meta pour avoir prétendument trompé les investisseurs sur l'effet que ses produits peuvent avoir sur les enfants, faisant ainsi grimper son action en violation des lois fédérales sur les valeurs mobilières.

Les efforts visant à lancer une application dérivée d'Instagram Kids ont été mis en pause à la suite de la dénonciation de Haugen. Un produit similaire lancé par YouTube en 2015, YouTube Kids, s'est avéré plus durable, la sélection humaine remplaçant les recommandations de contenu algorithmiques de la plateforme principale.

Le thème de la protection des enfants contre les méfaits des médias sociaux a même fait une apparition dans le dernier discours sur l'état de l'Union du président Biden. « Nous devons tenir les plateformes de médias sociaux responsables de l'expérience nationale qu'elles mènent sur nos enfants dans un but lucratif », a déclaré le président américain.

Cunningham a qualifié les fuites de Haugen de « catalyseur » du nouveau projet de loi, même si ce n'est pas sa seule motivation. « C'est quelque chose qui me trottait dans la tête et qui trottait dans la tête de ma coauteure Buffy Wicks également, depuis un certain nombre d'années. Nous l'abordons du point de vue des législateurs qui sont aussi des parents. J'ai quatre enfants : trois adolescents et un élève de première année. Et j'ai beaucoup, beaucoup d'amis qui m'ont confié au cours des deux dernières années que leurs enfants, à travers l'utilisation de TikTok ou Instagram ou les deux, souffraient de problèmes psychiatriques : dépression, problèmes d'image corporelle, dans certains cas même anorexie », a-t-il soutenu.

Grâce à la protection qui leur est accordée par un bout de texte réglementaire appelé section 230, les plateformes internet bénéficient d'une large protection juridique pour héberger le contenu que leurs utilisateurs publient sans en être eux-mêmes responsables. Certains avocats la décrivent comme un "mur de briques" empêchant toute action en justice significative contre les géants de la technologie. Le projet de loi Cunningham-Wicks tente de contourner ce mur en ciblant les algorithmes de la plateforme plutôt qu'un contenu spécifique. Selon le Children's Advocacy Institute, le projet de loi sera examiné par la commission judiciaire de l'Assemblée au printemps. Cunningham a déclaré qu'il espérait le transmettre au gouverneur Gavin Newsom d'ici septembre.

Source : Children’s Advocacy Institute

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?

Voir aussi :

TikTok fait l'objet d'une enquête sur son impact sur la santé mentale des jeunes, plusieurs procureurs généraux d'État sont "préoccupés par la sécurité et le bien-être des enfants".

Les médias sociaux nuisent à la santé mentale des adolescents, d'après une étude de l'Education Policy Institute

Des documents révèlent que Facebook ciblait des enfants de 6 ans pour sa base d'utilisateurs, l'entreprise recrutait des employés pour développer des programmes destinés aux enfants de 6 à 17 ans

Le président des États-Unis veut interdire la publicité destinée aux enfants sur Facebook, Tiktok et d'autres plateformes
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Avatar de halaster08
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 27/08/2024 à 13:28
Citation Envoyé par OrthodoxWindows Voir le message
Oui enfin le clavier type 3310 est quand même responsable de l'époque du langage SMS, pour avoir des jeunes qui ne savent plus écrire, il n'y a pas mieux. D'ailleurs une personne qui choisi d'avoir un modèle basique est souvent une personne qui ne veut non seulement pas aller sur internet avec, mais aussi n'aime pas les messages écrits... Rien à voir avec un enfant qui n'a pas demander à ne pas pouvoir facilement écrire des messages, et vas donc le faire quand même malgré les contraintes inhérentes au clavier.

D'ailleurs le langage SMS de l'époque a disparu, sans que les alarmistes de l'époque ne le souligne... Le problème était plus la manière dont était conçu la machine que la machine elle-même.
Il me semble que ce n'est pas tant le clavier mais plutôt la limitation du nombre de caractère dans un SMS et le fait de les payer à l'unité qui a fait que les jeunes de l'époque ont maltraité l'orthographe
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Avatar de mith06
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 26/01/2024 à 8:48
Ca serait pas plus simple de directement interdire la mauvaise santé mentale?
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Avatar de micka132
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 26/01/2024 à 9:03
Citation Envoyé par totozor Voir le message
.
J'ai connu la période où ces téléphones n'existaient pas et où je devait utiliser une cabine téléphonique quand mon train était en retard et que l'internat risquait d'être fermé à mon arrivée. (j'avais 15 ans)
En réalité le problème ici n'est pas le téléphone mais internet.
On interdit bien la vente d'alcool au mineur, on pourrait limiter l'usage d'internet si l'on considère que c'est nocifs. Si la limitation est generalisé on a plus le problème de marginalisation.
Mais ça ne doit pas venir de l'État mais plus d'une mentalité des parents. Peut-être que ça viendra naturellement à la prochaine génération qui diront que leurs parents étaient des gros bofs de les avoirs laissés consommer comme ça et ne voudront pas que leurs enfants vivent la même chose.
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Avatar de smarties
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 27/08/2024 à 11:35
La base serait que les vendeurs n'acceptent pas de vendre un smartphone destiné à un enfant en expliquant évidemment pourquoi aux parents.
S'il y a un réel besoin, voir pour un modèle basique (affichage + clavier type 3310).
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 26/01/2024 à 8:29
Quel est votre avis sur le sujet ?
Si nous ne regardons un outil que via les risques qu'il induit alors interdisons tout.
J'ai connu la période où ces téléphones n'existaient pas et où je devait utiliser une cabine téléphonique quand mon train était en retard et que l'internat risquait d'être fermé à mon arrivée. (j'avais 15 ans)
Les téléphones portables amène un confort de vie qui n'est pas négligeable et je ne suis pas prêt à faire machine arrière.

C'est facile de s'attaquer au mégaphone plutôt qu'au gars qui crie dedans.
Le problème est avant tout le harcèlement, problème que notre société a du mal à traiter.
Alors comme le sujet est compliqué à traiter on s'attaque à son exhausteur : le téléphone (et les réseaux sociaux)

Pensez-vous qu'interdire les smartphones aux moins de 16 ans est crédible ou pertinent ?
J'ai un couple d'amis qui ont suivi des règles assez strictes sur l'accès de leurs enfants aux écrans.
Pourtant ils n'ont pas résisté longtemps au téléphone portable quand leur ainé a eu 13 ans.
La société avance et refuser à son enfant ce qui est la norme à son âge c'est aussi l'empêcher de s'intégrer à son monde.
J'ai eu mon premier portable à 17 ans mais je fais partie de vieux. Ce n'est quasi plus faisable aujourd'hui en France.
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Avatar de Prox_13
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 26/01/2024 à 10:29
Citation Envoyé par Jade Emy Voir le message

Quel est votre avis sur le sujet ?
Je comprends le but, la motivation; Le téléphone portable est une malédiction, les gens sont socialement obligés d'en avoir par pression sociale.
Même ici, sur un forum de développement, la tendance est de dire que le téléphone "est une bonne chose (!!!), et que l'outil ne fait pas l'usage".

Sachant que dans le cas présent, l'outil c'est le smartphone et l'usage, c'est vous exploiter. Ce n'est pas simplement un téléphone.
Et encore si le vol de données personnelles n’était que le seul problème... Entre les problèmes d'isolement social et de harcèlement, les problèmes d'attention et les chambres d'écho (Source PDF) que ces applis créent, les problèmes de données très personnelles qui sont fuitées par des enfants, les prédateurs en ligne, mais aussi simplement la pression sociale en ligne, qui peut pousser à un mal-être permanent (manque de confiance) très grave lors du développement des enfants.

Je pense que cela peut être une source de l'extrémisation politique par exemple, car les gens sont forcés de prendre une position controversée pour être écoutés.

Un autre axe a examiner de plus près pourrait être la proximité d'internet qui évite la mémorisation de l'information directe, au profit de la mémorisation de l'accès à cette information.

Après autant de risque, je ne peux pas dire sincèrement que je trouve ça sain de laisser des enfants de 13 ans avec un smartphone.

(J'ai sourcé pour ceux qui ça interesse de lire)

Citation Envoyé par Jade Emy Voir le message

Pensez-vous qu'interdire les smartphones aux moins de 16 ans est crédible ou pertinent ?
Honnêtement c'est difficile à dire, puisque d'un côté nous misons tout sur les parents depuis des années, et en contrepartie la situation devient de pire en pire.
Je propose qu'on donne le choix aux enfants à partir de 13 ans, soit c'est un téléphone, soit un marque au fer rouge ("A" ou "G", Apple ou Google). Socialement, on pourra toujours dire "Je suis pour Apple/Google", mais y'a l'avantage de conserver sa santé mentale intacte.
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre expert https://www.developpez.com
Le 27/08/2024 à 13:20
Citation Envoyé par smarties Voir le message
La base serait que les vendeurs n'acceptent pas de vendre un smartphone destiné à un enfant en expliquant évidemment pourquoi aux parents.
S'il y a un réel besoin, voir pour un modèle basique (affichage + clavier type 3310).
Oui enfin le clavier type 3310 est quand même responsable de l'époque du langage SMS, pour avoir des jeunes qui ne savent plus écrire, il n'y a pas mieux. D'ailleurs une personne qui choisi d'avoir un modèle basique est souvent une personne qui ne veut non seulement pas aller sur internet avec, mais aussi n'aime pas les messages écrits... Rien à voir avec un enfant qui n'a pas demander à ne pas pouvoir facilement écrire des messages, et vas donc le faire quand même malgré les contraintes inhérentes au clavier.

D'ailleurs le langage SMS de l'époque a disparu, sans que les alarmistes de l'époque ne le souligne... Le problème était plus la manière dont était conçu la machine que la machine elle-même. En cherchant, je ne trouve absolument aucun article qui signale cette quasi-disparition
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre expert https://www.developpez.com
Le 27/08/2024 à 14:04
Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
Que pensez-vous de la réflexion de Jonathan Haidt ? Vous semble-t-elle pertinente ou pas du tout ? Dans quelle mesure ?
Alors forcément il y a du vrai dans cette réflexion, certains problèmes liés au smartphones tombent sous le sens. Là où il a raison, c'est sur "diminution progressive de l’autonomie et des expériences de jeu non supervisées chez les enfants". Sauf que cela suggère plus que le smartphone est une conséquence de cela, plus qu'une cause. En fait il le dit clairement, mais il ne peux pas s'empêcher de conclure que les smartphone serait responsable de quelque chose, alors que son propos suggère plus que la seul chose dont sont responsable les smartphones, c'est l'entretien du cercle le vicieux perte de relations sociales --> écrans --> ....

Quelle est votre opinion sur l’impact des smartphones sur le développement des enfants ?
Le principal danger immédiat des smartphone est le pompage massif de données personnels, enfant ou non (mais c'est encore plus grave avec les enfants, car cela donne une connaissance complète sur toute la vie de la personne à certaines entreprises.

Pensez-vous que la société actuelle offre suffisamment d’opportunités pour un jeu non supervisé et des interactions humaines pour les enfants ?
Non, absolument pas. Notamment a cause de la surmédiatisation de fait divers qui ne représente pas grand-chose sur le plan statistique, mais qui suffit pour effrayer la population.
Et la diminution de l’importance des lieus de socialisation dans de nombreux pays. Un bon exemple est justement l'Angleterre : il semble y avoir beaucoup plus de panique moral lié à internet et aux écrans qu'ailleurs. Hors c'est aussi là bas que ferment les pubs, salles de concertes, bibliothèques, clubs de sport, associations, salles de quartiers... Désormais certains supermarchés organisent des lieux d'échange, cela en dit long sur la situation. Ceux qui après se plaignes des écrans on un sacré culot, car se sont parfois les responsables de la politique qui a conduit a toute ces fermetures. Comme pour l'écologie, on est dans une logique de culpabilisation, pour éviter de devoir rendre des comptes à la population victime des politiques néo-libérales.
La monté du célibat est elle-aussi une conséquence de cette perte de d'expérience social libre dès l'enfance ; on y retrouve d'ailleurs le même discours culpabilisateur et anti-social, cette-fois ci plus du côté des féministes.
De manière plus profonde, ces constats sont aussi la conséquence d'existences devenus désincarnés, à une époque ou le spectacle marchand et médiatique ne fait plus rêver, et où les jeunes générations prennent progressivement conscience de la vacuité de ce spectacle. Cela est parfaitement résumé ici :
https://youtube.com/watch?v=k8AQzGB0v7E
Lien alternatif sur Invidious : https://invidious.reallyaweso.me/wat...?v=k8AQzGB0v7E

Comment les parents et les éducateurs peuvent-ils équilibrer l’utilisation de la technologie tout en favorisant le développement sain des enfants ?
En commençant par proposer autre chose que la technologie, a commencé par une autre société Sinon, on pourra bannir tous les RS et tous les Jeux Vidéos, adopter des lois totalitaires sur l'accès à internet, ça ne changera rien au fond du problème...
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre expert https://www.developpez.com
Le 27/08/2024 à 14:23
Citation Envoyé par halaster08 Voir le message
Il me semble que ce n'est pas tant le clavier mais plutôt la limitation du nombre de caractère dans un SMS et le fait de les payer à l'unité qui a fait que les jeunes de l'époque ont maltraité l'orthographe
Peu importe, dans les deux cas il s'agit d'un problème de limitation d'utilisation, pas l'inverse. Et je mets au défi n'importe qui d'écrire dans un français correct avec un clavier à nombres... A titre personnel j'en suis strictement incapable.
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