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Un avocat américain condamné à une amende de 15 000 dollars pour avoir utilisé un cas fictif généré par l'IA
Et d'autres incidents similaires se sont produits récemment

Le , par Jade Emy

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6  0 
Un avocat américain condamné à une amende de 15 000 dollars pour avoir utilisé un cas fictif généré par l'IA, et d'autres incidents similaires se sont produits récemment.

Un avocat américain condamné à une amende pour avoir utilisé une affaire fictive générée par l'IA. L'avocat Rafael Ramirez a été recommandé pour une amende de 15 000 dollars pour avoir cité des affaires judiciaires fictives. Ramirez a admis avoir utilisé des outils d'IA pour rédiger des documents juridiques, mais n'a pas vérifié les affaires citées. Cet incident a suscité de nombreuses inquiétudes quant aux risques liés à l'utilisation de l'IA dans le domaine juridique.

Depuis le boom de l'IA en 2023, les avocats ont de plus en plus recours au chabot d'intelligence artificielle (IA) pour les aider dans leurs travails. Cependant, même eux font face à des erreurs et des hallucinations de l'IA.

En mai 2023, l’avocat Steven A. Schwartz a utilisé ChatGPT pour générer et citer des affaires fictives lors d'un procès. Il représentait un homme qui poursuivait la compagnie aérienne Avianca après qu’un chariot de service lui ait heurté le genou lors d’un vol vers l’aéroport Kennedy de New York en 2019. Schwartz avait admis qu'il ne savait pas que ChatGPT inventerait simplement des affaires, le chatbot ayant insisté sur le fait qu’elles étaient réelles.

En mars 2024, un avocat de Vancouver, Chong Ke, a été condamné à payer les frais de la partie adverse après avoir cité deux affaires inexistantes générées par ChatGPT dans un litige de garde d’enfants. Le juge a réprimandé l'avocat Ke pour avoir inclus deux "hallucinations" de l’IA dans sa demande et l’a condamnée à payer les frais engagés par les avocats de Zhang pour vérifier l’existence des affaires. Il a estimé que Ke n’avait pas l’intention de tromper le tribunal, mais qu’elle avait fait preuve d’une "négligence professionnelle".

Récemment, le juge Mark D. Dinsmore du district sud de l'Indiana a recommandé une amende de 15 000 dollars à un avocat qui avait cité des affaires inexistantes dans des documents juridiques. L'avocat en question est Rafael Ramirez, de Rio Hondo, au Texas. Le 29 octobre 2024, il a cité trois affaires fabriquées de toutes pièces dans ses documents juridiques. Le récent rapport du juge Dinsmore indique que Ramirez n'a pas vérifié la validité et l'exactitude des cas cités dans trois documents juridiques, recommandant ainsi une amende de 5 000 dollars pour chaque document.


Le juge Dinsmore a fait valoir que si citer des chiffres, des dates ou des fautes d'orthographe est une erreur courante, citer des affaires totalement inexistantes est une erreur bien plus grave. Au cours de la procédure, le juge a demandé à Ramirez d'expliquer la situation. Ramirez a admis avoir utilisé des outils d'intelligence artificielle pour rédiger les documents et a déclaré qu'il ne savait pas que ces outils pouvaient générer de faux cas et de fausses citations.

Bien que Ramirez ait affirmé ne pas avoir eu d'intention malveillante, il a également admis ne pas s'être pleinement conformé à la règle 11 des règles fédérales de procédure civile, qui exige des avocats qu'ils certifient l'exactitude des documents soumis au tribunal. Le juge Dinsmore a souligné que la méconnaissance de l'outil d'IA par Ramirez mettait en évidence la gravité du problème.

Ces incidents mettent en évidence les risques liés à l'utilisation de l'intelligence artificielle dans le domaine juridique et les responsabilités qui incombent aux avocats lorsqu'ils utilisent ces technologies. Cependant, cela n'empêche pas les gens d'avoir de plus en plus recours à l'IA. Par exemple, en 2023, une IA devait servi d'avocat à un individu dans un cas devant un tribunal. L'IA de l’entreprise DoNotPay fonctionne sur un téléphone, écoute tous les discours dans la salle d’audience et donne des instructions à qui s’en sert grâce à une oreillette. L'entreprise proposait même "1 000 000 $ à tout avocat ou personne ayant une affaire à venir devant la Cour suprême des États-Unis pour qu'il porte des AirPods et laisse notre robot avocat plaider l'affaire en répétant exactement ce qu'il dit.

En outre, récemment, des travailleurs mécontents avaient utilisé l'IA pour générer et déposer des plaintes contre leurs employeurs à un rythme sans précédent. Mais les experts ont noté que l'IA génère des arguments incohérents, longs et souvent incorrects et entraîne une hausse des frais de justice. Un expert avait notamment affirmé : "Dans de nombreux cas, les résultats de l'IA sont inexacts, ce qui amène les demandeurs à invoquer des revendications ou des arguments non valables. L'employeur ne peut pas se contenter d'ignorer ces demandes. Cela conduit à un cycle de correspondance continue et coûteuse"

Source : Décision de Justice

Et vous ?

Pensez-vous que cette décision du juge est crédible ou pertinente ?
Quel est votre avis sur le sujet ?

Voir aussi :

Un juge a infligé une amende de 5 000 $ à un cabinet d'avocats qui s'est appuyé sur des affaires juridiques fictives générées par ChatGPT. Ce dernier avait assuré que ces affaires étaient réelles

Près de trois quarts des juristes prévoient d'utiliser l'IA pour leur travail, ce qui est effrayant. Les modèles d'IA juridique hallucinent une fois sur six (ou plus) dans les évaluations comparatives

Il vaut mieux appeler GPT qu'un avocat, les grands modèles de langage démontrent une grande précision, des temps de révision réduits et des économies jusqu'à 100% de coûts par rapport aux avocats
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Avatar de Matthieu Vergne
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 12/11/2025 à 0:36
Remplacez le jargon des avocats par celui des développeurs et vous aurez un autre article criant de vérité :
L’automatisation du développement logiciel

Ce que révèle cette crise, c’est la mutation d’un métier fondé sur la précision, la nuance et la responsabilité. L’usage d’outils comme GPT, Claude ou Copilot promet de gagner du temps, d’améliorer la clarté ou de simplifier la recherche de code. Mais le revers de la médaille, c’est la perte du contrôle intellectuel.

Là où le développeur devrait interpréter, il se contente parfois de recopier. Là où il devrait peser chaque instruction, il laisse l’algorithme formuler des généralités verbeuses. Le « slop coding » n’est pas qu’un problème de style : il est la preuve d’une déresponsabilisation progressive, d’un glissement où le code devient une simple sortie de modèle statistique.

Et dans le domaine logiciel, une erreur de raisonnement ou une valeur inventée ne se corrige pas comme une coquille dans un e-mail : elle peut fausser une décision, nuire à un client, voire porter atteinte à la société.
Pas plus tard que vendredi je parlais avec mes collègues de faire la distinction entre ceux qui sont rigoureux et ceux qui ne le sont pas :
  • les rigoureux peuvent tirer de l'IA les principaux avantages, car leur rigueur s'assure qu'ils vérifient derrière et comprennent ce qu'ils font, l'IA peut alors faire gagner un peu de temps sur les parties à écrire qu'on maîtrise déjà (peu de temps de vérification nécessaire) ou beaucoup pour les juniors qui peuvent focaliser leur temps d'apprentissage sur ce qui marche (moins de recherches infructueuses, qui peuvent apprendre des trucs mais moins pertinentes à l'instant T), et pour le reste rend surtout le job plus fun
  • les non-rigoureux par contre ont toutes les chances de donner une fausse impression de gros coup de pouce sur le court terme, en se contentant de copier sans vraiment réfléchir à ce qu'ils font, donnant l'impression qu'ils exploitent mieux l'IA alors qu'en fait les conséquences néfastes ne s'en ressentiront que plus tard, introduisant des coûts qui gomment les avantages illusoires de court terme. Quant au long terme, à force de se laisser aller à l'IA, ils ne forgeront pas leur propre expertise, se contentant de rester dépendants d'outils qu'ils ne maîtrisent pas et de stagner à leur niveau. Rendant le renouvellement des générations de dévs précaire.


En tant que développeurs, c'est à nous de nous assurer que nos juniors et nos employeurs ne tombent pas dans le panneau.

Pour les ingénieurs français, inscrits au répertoire des Ingénieurs et Scientifiques de France (IESF), il en va de notre responsabilité d'informer et de former :
https://www.iesf.fr/752_p_49680/char...ingenieur.html
Citation Envoyé par Charte IESF
En tant que membres d’un collectif de travail, l'ingénieur et le scientifique :
  • se mettent au service de leurs commanditaires et les informent des risques et contraintes (sociaux, environnementaux, économiques) des solutions proposées (Sens du service),
  • ...
  • participent à l'adaptation des activités de leur collectif de travail aux évolutions de la société et de l’environnement (Agilité),
  • encouragent la montée en compétences techniques et scientifiques de leurs collaborateurs et équipes (Management),
  • travaillent méthodiquement afin d’assurer la traçabilité des résultats et des données qui fondent les décisions de leur collectif de travail (Transparence),
  • participent activement à la gouvernance de leur collectif de travail (Engagement),
  • ...
  • signalent, de bonne foi et de manière désintéressée, les risques et les atteintes graves envers les droits humains, les libertés fondamentales, la santé et la sécurité des personnes, ainsi que l’environnement, résultant des activités de leur collectif de travail (Intégrité).
Citation Envoyé par Charte IESF
En tant que membres de la société toute entière, l’ingénieur et le scientifique :
  • ...
  • adoptent une posture active dans la société en éclairant l'opinion publique sur les problématiques qui nécessitent une vision de l'ingénieur ou du scientifique (Citoyenneté),
  • transmettent leur savoir scientifique et leur expérience, en les rendant accessibles au plus grand nombre (Vulgarisation),
  • ...
3  0 
Avatar de
https://www.developpez.com
Le 11/11/2025 à 1:29
entre les réponses approximatives façon profession de foi ("vous nous avez demandé si... nous certifions que" sans aucune réf juridique) et les inventions c'est catastrophique. dans les cas les plus fréquents l'IA est co... comme une b... quel écran de fumée, tout ça pour facturer. Un bon vieux moteur de recherches qui pointe vers des données validées... pas photo. ça c'est pire que tout.
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 14/11/2025 à 7:35
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
Ça répond déjà à un besoin, aux usa celui qui veut pas mettre 500€ dans une consultation médicale ou un avocat utilise déjà chatgpt et se débrouille.
Et soigne sa dépression en se pendant.
l'école de mes gosses et payante mais c'est 15 élèves dans la classe avec 2 profs, la oui y'a une value d'avoir un humain. Mais cela a un prix.
Bienvenue dans le capitalisme : tu veux sortir du lot? Payes.
2  0 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 12/11/2025 à 16:01
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Un mouvement se développe au sein de la profession pour recenser les affaires inventées par l'IA utilisées par leurs confrères

Aux États-Unis, les tribunaux commencent à crouler sous des documents juridiques « slopifiés » – des textes générés ou fortement assistés par des intelligences artificielles qui déforment la logique, inventent des jurisprudences et brouillent le langage du droit. Ce phénomène, dénoncé par des juristes eux-mêmes, marque une dérive inquiétante : celle d’une profession qui, en cédant trop vite à la tentation de l’IA, met en péril la rigueur de sa propre parole.
Vraie question bête : est il si compliqué de développer une IA qui vérifie ces plaidoiries.
Les gars écrivent des plaidoiries en 5 min?
On est pas capable de les détruire à peine plus lentement?
Surtout que les gens doivent donner des sources (articles, jurisprudence du xx/xx/xxxx etc).
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Avatar de Matthieu Vergne
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 12/11/2025 à 20:37
Citation Envoyé par totozor Voir le message
Vraie question bête : est il si compliqué de développer une IA qui vérifie ces plaidoiries.
Elle te générera, comme les autres, un texte plausible. Correct quand tu as de la chance, avec des illusions quand tu en as moins, genre elle invente des bons points ou des mauvais points que la plaidoirie n'a pas, ou de vrais critiques mais sur la base de raisons inventées. Si on pouvait faire ça, on pourrait tout aussi bien faire des plaidoiries qui tiennent la route. Tu ne peux jamais rien "vérifier" avec un LLM, quel que soit le prompt. Tu peux générer une analyse plausible, mais il faut toujours repasser derrière pour confirmer, sinon tu ne sais pas quand tu te baseras sur du bullshit.

Et si par IA tu parles d'autre chose que du LLM, le soucis est que c'est une tâche de traitement du langage en premier lieu, là où justement les LLM sont bons. Le truc est qu'il faut combiner ça avec de la logique (juridique, pour le coup) ce qui est hors de leur portée. À voir avec les futures technos en cours de construction (JEPA ?).
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 13/11/2025 à 8:05
Citation Envoyé par Matthieu Vergne Voir le message
Tu ne peux jamais rien "vérifier" avec un LLM, quel que soit le prompt.
Et si par IA tu parles d'autre chose que du LLM, le soucis est que c'est une tâche de traitement du langage en premier lieu, là où justement les LLM sont bons. Le truc est qu'il faut combiner ça avec de la logique (juridique, pour le coup) ce qui est hors de leur portée. À voir avec les futures technos en cours de construction (JEPA ?).
je comprends bien qu'on a besoin d'un LLM à la base pour identifier les sources mais ça ne doit pas être la mer à boire. Nous arrivons à développer des IA qui identifient des exigences ou retrouvent des sujets dans nos procédures alors que ce n'est pas notre coeur de métier, en grande partie parce que les documents sont très normalisés et les mots clés sont facile à retrouver ("jurispridence" "article" par exemple pour le juridique).
Ne peut-on pas se contenter ensuite d'un "moteur de recherche automatisé" pour aller chercher les références? L'objectif premier est d'identifier les plaidoiries avec des fausses sources.
On peut ensuite remettre une couche de LLM pour extraire le texte des source identifiée et sortir un facteur de corrélation.

Je vois bien que la première étape est pas si évidente et le risque (qu'on voit chez les élèves) d'uniformisation des plaidoiries.
Mais on se retrouve quand même face à des gens qui protègent leur profession de l'IA pour à la fin se transformer en porte parole de celles ci et qui ne se donnent même pas le mal de les relire et faire leur boulot.
je suis sincèrement pour que les professionnels puissent se protéger des IA mais je pense aussi qu'il faut être sans pitié pour ceux qui se cache derrière ça mais n'assurent pas leur travail à la fin. Et si la vague est si grosse alors il faut combattre le feu par le feu ou embaucher une armée de "légicheckeurs" qui seront les légistes fraudeurs de demain
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Avatar de AoCannaille
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 13/11/2025 à 10:32
Personnellement, ce qui m'étonne c'est que les avocats utilisent des LLM qui génère du bullshit alors que des IA du type systèmes experts existent et sont bien plus fiable (sans être parfaite).
J'imagine qu'il y a la place pour une combinaison des deux : L'avocat entre une série de faits dans le système expert, qui sort ensuite une série de texte de lois applicables, les fourchettes des peines encourues et la jurisprudence sur ces cas là, puis le LLM synthétise ces résultat là, rien d'autre.

Reste que la jurisprudence, c'est pas magique, c'est consigné par une poignée d'éditeurs qui doivent facturer cher l'accès à leur BDD.
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Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 13/11/2025 à 11:31
ce n'est pas prêt de s'arreter.

l'avocat peux traiter plus rapidement des affaires donc augmenter son ca.
il peut aussi décider de baisser les couts pour élargir sa clientèle.

A la fin ca fera une justice bien plus engorgé. On pourrais imaginer ici une ia pour traiter les affaires les moins graves et si appel cela passerait par des humains.
Une maison squatter par exemple, une ia pourrait très bien ordonné l'expulsion du squatteur dans la seconde, pas la peine de déranger un juge humain pour ça.

Dans un monde parfait, bien sur la solution serait que l'avocat fasse bien son travail, il faudrait engager plus de juge/magistrat, mais la justice en france c'est un très petit budget qui ne peut être étendue (au détriment d'autre chose sinon) il faut trouver des solutions avec des moyens limité.
et dans ce monde, les petits avocats vont préférer augmenter leurs CA quitte à bâcler le travail que de faire de la qualité. Surtout pour des affaires banals et répétitive (divorce, conflit voisinage, squat...)
Pour les gros cabinet prestigieux, c'est la réputation du cabinet qui est en jeu donc je pense que la qualité primera.
le génie logiciel c'est pareil, on ait des choix pour rester dans le budget, réduction des tests, on bâcle l'optimisation, on supprime certaines fonctionnalités utilisé...etc.

ce n'est qu'une question de temps mais les métiers de comptable, avocat, et même médecin seront tot ou tard plus protégé par les états et ce sera open bar pour les ia. d'ici 10-20ans je pense qu'avoir une ia comptable, une ia avocat et une ia médecin généraliste sera la norme.
Ça répond déjà à un besoin, aux usa celui qui veut pas mettre 500€ dans une consultation médicale ou un avocat utilise déjà chatgpt et se débrouille.
Je connais nombre d'étudiants qui se forme avec chatgpt, le prof ne sert juste qu'a donner des polycopier et surveiller la salle pendant les examens. Beaucoup prefere la qualité d'un cours personnalisé avec chatgpt que un cours magistrale. Un prof qui parle à 30 élèves dans un collège ou 200dans un fac, ca ne sert à rien.
J'ai même déjà vu des facs engorgé en france, un amphi avec le prof et un autre amphi c'est une grosse télé avec le cours en direct. Des étudiants ont même cassé cette télé pour empêcher la moitié de la promo d’accéder aux cours et d'avoir un avantage au concours, seul ceux qui se levait à 5h du mat et faisait la queue devant l'amphi avait une chance.

l'école de mes gosses et payante mais c'est 15 élèves dans la classe avec 2 profs, la oui y'a une value d'avoir un humain. Mais cela a un prix.
prix que peu peuvent/veulent mettre, déjà que les profs en france se plaignent d’être pas assez bien payé.

Il y'a les dur réalités économique qui forceront ces secteurs encore protégé a s'ouvrir à l'ia.
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