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« La demande du Royaume-Uni d'accéder aux données stockées dans iCloud d'Apple menace les Américains », affirment des législateurs
Qui demandent à Washington d'exiger de son allié qu'il renonce à son projet

Le , par Mathis Lucas

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6  0 
Les législateurs américains dénoncent la volonté du Royaume-Uni de briser le chiffrement du service de stockage iCloud d'Apple. Un récent rapport a révélé que le Royaume-Uni a demandé à Apple de créer une porte dérobée à l'échelle mondiale qui lui permettrait d'accéder aux données d'iCloud. Cette révélation a suscité un tollé en raison de craintes liées à la mise en place d'une surveillance de masse. Aux États-Unis, des législateurs appellent la nouvelle responsable du renseignement, Tulsi Gabbard, à prendre des mesures énergiques pour contrecarrer cette demande controversée d'un allié de premier plan qui menace la sécurité de tout le monde.

Les États-Unis se disent opposés à la guerre du Royaume-Uni contre le chiffrement

Le Royaume-Uni cherche depuis des années à briser le chiffrement en ligne prétendument pour lutter contre la criminalité et le terrorisme. Les législateurs britanniques tentent ainsi d'imposer aux entreprises technologiques de mettre en place des portes dérobées dans leurs services afin de permettre aux forces de l'ordre britannique d'accéder discrètement aux informations privées des utilisateurs. Cependant, la mesure reste impopulaire et très combattue.

Aux États-Unis, la grogne monte après la révélation de l’exigence faite à Apple par le Royaume-Uni. Apple aurait reçu l'ordre de créer une porte dérobée au-dessus du chiffrement d'iCloud à l'échelle mondiale. Cela garantirait au Royaume-Uni un accès général à tous les contenus chiffrés téléversés sur iCloud.


Le sénateur Ron Wyden (D-OR) et le représentant Andy Biggs (R-AZ) ont envoyé une lettre à Tulsi Gabbard dans laquelle ils affirment que si Apple se conforme à la demande non confirmée du ministère britannique de l'Intérieur, la sécurité des citoyens américains et des données gouvernementales sera mise en péril. Pour cela, ils demandent à la nouvelle directrice du renseignement national d'exiger du Royaume-Uni qu'il revienne sur sa décision polémique.

Citation Envoyé par Ron Wyden et Andy Biggs


Apple ne produit pas de versions différentes de son logiciel de chiffrement pour chaque marché. Si Apple est contraint d'intégrer une porte dérobée dans ses produits, cette porte dérobée finira par compromettre la sécurité des données des Américains, ainsi que celle des innombrables agences gouvernementales fédérales, nationales et locales qui confient des données sensibles aux produits Apple.

Après des années de pressions exercées par de hauts responsables du gouvernement américain en faveur d'un chiffrement plus faible et de portes dérobées pour la surveillance, il semble que le gouvernement américain se soit finalement rallié à une position que nous défendons depuis longtemps : un chiffrement fort de bout en bout protège la sécurité nationale.

Si le principal allié des États-Unis ne revient pas sur sa décision, Tulsi Gabbard devrait envisager de limiter l'échange de renseignements et la coopération en matière de cybersécurité entre les deux pays. Ron Wyden et Andy Biggs affirment que si le Royaume-Uni ne renonce pas à cette initiative, cela remettrait en cause la confiance de longue date entre les deux pays. Une copie de la lettre des législateurs américains a été examinée par le Washington Post.

« Si le Royaume-Uni ne renonce pas immédiatement à cet effort dangereux, nous vous demandons instamment de réévaluer les accords et les programmes de cybersécurité entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ainsi que les échanges de renseignements entre les États-Unis et le Royaume-Uni », indique la lettre.

« Les relations bilatérales entre les États-Unis et le Royaume-Uni doivent être fondées sur la confiance. Si le Royaume-Uni sape secrètement l'un des fondements de la cybersécurité américaine, cette confiance a été profondément rompue », expliquent Ron Wyden et Andy Biggs dans leur lettre.

La mise en œuvre de l'ordonnance détruirait toutes les protections des utilisateurs

L'ordre aurait été intimé à Apple en janvier 2025. Selon les experts juridiques, il s'agit d'une demande sans précédent qui n'avait jamais été formulée dans aucun autre pays démocratique. Une telle porte dérobée compromettrait l'engagement d'Apple envers ses utilisateurs en matière de protection de la vie privée. Selon les membres du Congrès, la demande du Royaume-Uni est tout simplement inacceptable et ils appellent le gouvernement fédéral à réagir.

La mise en œuvre de l'ordonnance compromettrait la protection des données des utilisateurs d'iCloud. Apple a commencé à déployer cette option, appelée « protection avancée des données », en 2022. Il avait cherché à l'offrir plusieurs années auparavant, mais il a fait marche arrière après les objections du FBI pendant le premier mandat de Donald Trump, qui a cloué l'entreprise au pilori pour ne pas avoir aidé à l'arrestation de « criminels violents ».

Le service est une option de sécurité disponible pour les utilisateurs d'Apple aux États-Unis et ailleurs. Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de chiffrer de bout en bout de nombreuses catégories de données iCloud supplémentaires, notamment les photos, les notes, les mémos vocaux, les sauvegardes de Messages, les sauvegardes d'appareils, etc., rendant ainsi leurs données personnelles inaccessibles à quiconque, y compris à Apple lui-même.

Bien que la plupart des utilisateurs d'Apple ne fassent pas les démarches nécessaires pour l'activer, la fonction offre une protection renforcée contre le piratage et met fin à une méthode habituelle utilisée par les forces de l'ordre pour accéder aux messages et à d'autres documents. Le stockage et les sauvegardes iCloud sont des cibles privilégiées pour les mandats de perquisition américains, qui peuvent être signifiés à Apple à l'insu de l'utilisateur.

Google applique le chiffrement par défaut pour les sauvegardes de téléphones Android depuis 2018. Interrogé pour savoir si un gouvernement britannique avait demandé une porte dérobée, le porte-parole de Google, Ed Fernandez, n'a pas fourni de réponse directe, mais a suggéré qu'il n'en existait pas : « Google ne peut pas accéder aux données de sauvegarde chiffrées de bout en bout d'Android, même avec une ordonnance légale », a-t-il déclaré.

Les services de police du monde entier s'opposent à l'utilisation du chiffrement dans les modes de communication autres que le simple trafic téléphonique, qui, aux États-Unis, peut être surveillé avec l'autorisation d'un tribunal. Ils estiment que « cela entrave la lutte contre la criminalité et le terrorisme ».

Les experts condamnent les tentatives du Royaume-Uni de briser le chiffrement

Les experts en cybersécurité et groupes commerciaux spécialisés dans les technologies condamnent cette décision, que les autorités britanniques n'ont ni confirmée ni infirmée. « La plupart des experts s'accordent à dire que ce que propose le Royaume-Uni affaiblirait la sécurité numérique pour tous, non seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier », affirme Ciaran Martin, ancien directeur général du Centre national de cybersécurité du Royaume-Uni.

« Si Apple est contraint d'intégrer une porte dérobée dans ses produits, celle-ci se retrouvera dans les téléphones, les tablettes et les ordinateurs des Américains, ce qui portera atteinte à la sécurité des données de ces derniers, ainsi qu'à celle des innombrables agences gouvernementales fédérales, étatiques et locales qui confient des données sensibles aux produits Apple », écrivent les deux législateurs dans la lettre adressée à Tulsi Gabbard.

Selon certains observateurs, les États-Unis pourraient bénéficier de cette porte dérobée si elle était mise en place. Si Apple obéit à l'ordre du Royaume-Uni, il est possible que des fonctionnaires britanniques partagent des informations provenant d'Américains avec les services de renseignement américains.

« Bien que Tulsi Gabbard ait déclaré que les États-Unis ne peuvent généralement pas demander à un allié de faire quelque chose que les États-Unis n'ont pas le droit de faire eux-mêmes, cela n'empêcherait pas le Royaume-Uni de fournir volontairement des informations qu'elle juge utiles », ont-ils ajouté.

Le jeudi 13 février 2025, plus d'une centaine de groupes, d'entreprises et de particuliers ont écrit une lettre au ministère britannique de l'Intérieur pour dénoncer l'ordonnance, en invoquant les droits de l'homme et les préoccupations des entreprises. D'autres appellent à ne pas ouvrir la boite de Pandore.

Les signataires comprennent le Center for Democracy and Technology, basé à Washington, l'Index on Censorship, basé à Londres, et l'organisation à but non lucratif Mozilla, qui développe le navigateur Firefox. « Les cyberattaques étant de plus en plus fréquentes et sophistiquées, le gouvernement, les citoyens et les entreprises du Royaume-Uni n'ont jamais été aussi dépendants du chiffrement de bout en bout pour assurer leur sécurité », indique la lettre.

Une porte dérobée rendrait le chiffrement « inutile » et pourrait être détournée

Le PDG d'Apple, Tim Cook, a toujours insisté sur le fait qu'offrir aux autorités une porte dérobée pour accéder à son chiffrement ouvrirait la voie aux « méchants » pour accéder aux données de ses utilisateurs. Les experts en cybersécurité ont d...
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Avatar de kain_tn
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 03/04/2025 à 11:06
Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
[...]
« Nos maisons deviennent plus dangereuses que nos rues, car la criminalité se déplace en ligne. Pour assurer la sécurité de notre société et de nos concitoyens, nous devons sécuriser cet environnement numérique. Les entreprises technologiques ont une responsabilité sociale dans le développement d'un environnement plus sûr où les forces de l'ordre et la justice peuvent faire leur travail. Si la police perd la possibilité de recueillir des preuves, notre société ne sera pas en mesure de protéger les personnes contre la criminalité », écrit Europol.[...]
Bouh! Le paragraphe qui fait bien peur! Agrougroum! Les méchants cybercriminels sont dans votre maison!!!

Vite, détruisez ce qui les tient à l'écart en installant des backdoors, que promis juré, seules les forces de l'ordre auront le droit d'utiliser!

Pfff... Toujours les mêmes arguments ridicules...
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Avatar de Médinoc
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 03/04/2025 à 12:39
permettront aux autorités répressives d'accéder aux données chiffrées de manière légale, tout en préservant la sécurité en ligne et les droits fondamentau
Le seul moyen d'avoir le second est de ne pas faire le premier.
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Avatar de Artaeus
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 11/04/2025 à 17:59
Ces histoires de surveillance sont extrêmement inquiétante et très grave pour la liberté.
On est sur les mêmes débats concernant la correspondance privé d'il y a 1 siècle.

Sauf qu'on bascule du mauvais côté, vers la mise en place d'un régime de surveillance de masse ... qui finit toujours par devenir autoritaire.
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Avatar de marsupial
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 11/04/2025 à 19:16
La conclusion du débat doit être basée sur une vérité simple : nous avons tous une vie privée mais par contre nous ne sommes pas tous des criminels.
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Avatar de Artaeus
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 03/04/2025 à 12:42
Qui va encore se faire berner par un tel discours ?

Il y a déjà trop de censure, qui ça soit sur les DNS, l'ARCOM ou même le "piracy shield" italien.
L'UE est juste en train de mettre en place une surveillance de masse.

En réalité, c'est juste pour nous surveiller, on l'a vu avec la censure DNS qui a bien changé d'objectif (on est passé de anti-terro, a simplement anti-"tout ce qui ne plait pas" sans le moindre contrôle et dans le plus grand secret).
Et "nos maisons sont plus dangereuses" ... Mon PC ne m'a jamais mis un coup de couteau, alors que des délinquants dans la rue, oui
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Avatar de d_d_v
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 04/04/2025 à 9:19
Ce que veut faire la Commission, c'est ce que faisait le KGB: contrôler, censurer, et éventuellement emprisonner (il y a de la place dans les anciens pays de l'est pour construire des goulags).
En attendant, l'affaire des sms d'Ursula avance à tous petits pas... L'UE est vraiment un système totalitaire. Ca va mal finir !
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Avatar de pascaldm
Membre actif https://www.developpez.com
Le 14/02/2025 à 19:23
Le principe d'une solution chiffrée de bout en bout induit que l'éditeur, le fabricant ou l'opérateur ne possède pas les clefs cryptographiques permettant de recouvrer le contenu en clair. Ces secrets de session ne sont détenus que par les participants à la communication pendant l'exécution de celle-ci. Les participants établissent un canal sécurisé dédié lors de l'établissement de la communication sans l'aide d'un tiers en utilisant les propriétés des algorithmes cryptographiques asymétriques à clef publique (comme l'accord de clef comme Diffie-Hellman). Dans ce cas une réquisition judiciaire ne sert à rien. Personne n'est en mesure de fournir le moyen de déchiffrement.

Changer le modèle de protection de bout en bout induit de modifier les services de sécurité applicatives qui n'apporteront alors plus aucune protection à quiconque...

Veulent-ils aussi inclure dans ces demandes de backdoor les sessions TLS de paiement en ligne (c'est aussi un chiffrement de bout en bout entre le navigateur et le prestataire de paiement) ?

En cas de vote d'une loi contre le chiffrement de bout en bout, la nature ayant horreur du vide, des services alternatifs verront le jour pour remplacer les grandes applications de messagerie instantanée backdorée ! Avec IPv6 l'atteinte d'un objectif avec des applications open source mis en oeuvre par l'utilisateur est à portée de main. Cela va plutôt multiplier les solutions alternatives autour de modèles décentralisés et particuliers. Un modèle décentralisé peer to peer comme PGP.

Les services d'interception existants sont ceux de la téléphonie cellulaire ou fixe dont les communication sont transportées par un opérateur télécom. Ce dernier est d'ailleurs tenu de répondre aux réquisitions judiciaires comme c'est aussi le cas pour un fournisseur de mails, VPN et même de VoIP (SIP utilise un acheminement de proche en proche, pas de bout en bout). D'ailleurs, comment vont-ils procéder avec les réseaux mixnet ? Une loi "liberticide" rendra la situation plus complexe pour ceux qui veulent tout contrôler.

Les criminels ou les terroristes utilisent des services spécifiques non publiques comme Encrochat ou ses concurrents. Ainsi, introduire une backdoor sur un service grand public n’affaiblit que la population, pas les criminels ou les terroristes qui vivent dans l'illégalité... Le contrôle de la vente des armes n'a jamais empêché un criminel ou un terroriste d'être armé.

Il existe maintenant des voies légales pour les services de police sur instruction judiciaire pour déployer des spywares sur des équipements d'un prévenu (circulaire sur la procédure de captation informatique). Dans ce cas, les communications peuvent être captées à l'entrée ou la sortie d'un canal sécurisé.

Les moyens techniques et légaux existent déjà pour les affaires de droit commun, la grande criminalité ou le terrorisme. Les politiques, la justice et les forces de police devraient s'y tenir. Sur le fond, le discours politique des tenants du tout contrôle n'est qu’incompréhension et incompétence en matière d'état de l'art en cryptographie. Alors, adopter une loi liberticide verra une diffusion alternative de moyens de communication sécurisée. En y associant un peu de stéganographie, les prétendants au tout contrôle contrôleront encore moins les communications, notamment les services de renseignement qui devront redoubler d'effort face à une multitude de solutions sur le terrain.
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Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 15/02/2025 à 4:28
Pour répondre à la nouvelle et à Popo :
Les US (comme tous les gouvernements) jouent le rôle de la vierge effarouchée puisqu'il ne sont pas en position de domination. Ils prétendent vouloir défendre leur peuple, argument on ne peut plus facile/populiste pour dire poliment à leur allié que cette décision ne leur plaît pas. Pourquoi est-ce qu'elle ne leur plaît pas ? Pas parce qu'il n'en aiment pas le concept mais parce qu'ils n'en auront pas le contrôle.
Il n'y a qu'à voir ce que la NSA a fait avec l'entreprise suisse Crypto AG des années 50 à 70 (20 ans d'espionnage étatique à l'échelle mondiale en territoire étranger putain !) pour se convaincre que ce le Royaume-Uni est en train de demander, c'est ce que tous les gouvernements souhaitent. Mais pour leur usage personnel uniquement. Et je parle des années 50 à 70 mais on sait tous ce qu'il s'est passé depuis (enfin on peut s'essayer à imaginer).

Pour répondre à Pascalpm :
On n'habite pas sur la même planète que ceux qui sont en train de rédiger/demander l'adoption de ce texte. Nous on est informaticiens, de métier ou de passion, mais dans tout les cas, ça a une conséquence : on n'est peut-être pas des spécialistes du sujet mais on peut au moins se projeter, avoir une idée des tenants et des aboutissants, imaginer des conséquences. Bref on peut causer.
Chez les politiques aussi il y a ceux qui savent. Mais eux, ils avancent dans l'ombre (encore une fois l'exemple de Crypto AG est parfait). Ceux auxquels on a affaire, ceux qui avancent dans la lumière, eux, ne savent pas ce qu'est un VPN, un DNS ou Tor et croient qu'il peuvent faire confiance à leur pare-feu open office. Je pense -je peux me tromper- qu'il y a des chances pour que les personnes qui sont en train de présenter ce texte aient autant de connaissance en informatique que Christine Albanel ou que Thierry Mariani en avait en organisation d'événements.

J'vais pas vous parler deux fois de crypto AG dans le même message sans vous laisser un ou deux liens ;-).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Crypto_AG
Magnifique reportage de la RTS :
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Avatar de der§en
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 11/04/2025 à 23:02
Il y a 2 siècles, on parlait de cabinet noire, la technologie a changé mais pas les mentalités, hélas !
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Avatar de popo
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 14/02/2025 à 15:55
C'est fou comme le discours change.

D'un coté, cela "érodera les droits fondamentaux et les libertés civiles de l'ensemble de la population" que le gouvernement britannique puisse accéder aux donnée des américains
Mais cela ne semble pas leur poser de problème lorsque que c'est l'Amérique qui veut stocker les dossiers médicaux de la planète entière.

https://intelligence-artificielle.de...ance-de-masse/
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