IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)

Vous êtes nouveau sur Developpez.com ? Créez votre compte ou connectez-vous afin de pouvoir participer !

Vous devez avoir un compte Developpez.com et être connecté pour pouvoir participer aux discussions.

Vous n'avez pas encore de compte Developpez.com ? Créez-en un en quelques instants, c'est entièrement gratuit !

Si vous disposez déjà d'un compte et qu'il est bien activé, connectez-vous à l'aide du formulaire ci-dessous.

Identifiez-vous
Identifiant
Mot de passe
Mot de passe oublié ?
Créer un compte

L'inscription est gratuite et ne vous prendra que quelques instants !

Je m'inscris !

La Cour suprême valide l'interdiction de TikTok dans une décision unanime. Le sort de TikTok aux États-Unis est donc désormais entre les mains de Donald Trump
à qui l'administration Biden veut passer le relais

Le , par Stéphane le calme

48PARTAGES

13  0 
La Cour suprême valide l’interdiction de TikTok dans une décision unanime.
Le sort de TikTok aux États-Unis est donc désormais entre les mains de Donald Trump, à qui l'administration Biden veut passer le relais

La Cour suprême a confirmé vendredi la loi obligeant la société chinoise ByteDance à céder sa participation dans TikTok d'ici dimanche, sous peine d'interdiction effective de la populaire application de vidéo sociale aux États-Unis. ByteDance a jusqu'à présent refusé de vendre TikTok, ce qui signifie que de nombreux utilisateurs américains pourraient perdre l'accès à l'application ce week-end. L'application peut encore fonctionner pour ceux qui ont déjà TikTok sur leur téléphone, bien que ByteDance ait également menacé de fermer l'application. Dans une décision unanime, la Cour suprême s'est rangée du côté de l'administration Biden, confirmant la loi « Protecting Americans from Foreign Adversary Controlled Applications Act », que le président Joe Biden a signée en avril.

Le contexte de l’affaire

TikTok, une application de partage de vidéos populaire développée par la société chinoise ByteDance, est devenue un phénomène culturel mondial, attirant plus d’un milliard d’utilisateurs actifs mensuels. Cependant, son ascension fulgurante a également engendré des préoccupations croissantes concernant la confidentialité des données et la sécurité nationale.

Depuis plusieurs années, des responsables américains affirment que TikTok représente une menace pour la sécurité nationale, citant la possibilité que les données des utilisateurs américains soient partagées avec le gouvernement chinois. Bien que ByteDance ait nié ces allégations, les tensions entre Washington et Pékin ont alimenté les inquiétudes.

En 2020, l'administration Trump avait déjà tenté d'interdire TikTok, mais cette tentative avait été bloquée par des tribunaux inférieurs. Sous l'administration Biden, les pressions n'ont pas diminué, bien qu'une approche différente ait été adoptée, axée sur des négociations pour la vente des opérations américaines de TikTok à une entreprise nationale. Ces négociations n'ayant pas abouti, plusieurs États, ainsi que le gouvernement fédéral, ont repris les discussions sur une interdiction pure et simple.

TikTok s'est alors saisie de la Cour suprême pour lui demander d'annuler la loi actant son interdiction. À l'issue des plaidoiries, la Cour suprême a estimé vendredi que l’interdiction de TikTok était conforme à la Constitution, justifiant cette position par des considérations de sécurité nationale. Selon les juges majoritaires, l’État a le droit d’agir de manière proactive pour protéger ses citoyens contre des menaces potentielles, même si les preuves d’un préjudice direct sont limitées.

« Il ne fait aucun doute que, pour plus de 170 millions d'Américains, TikTok offre un moyen d'expression distinctif et étendu, un moyen d'engagement et une source de communauté », indique l'avis de la Cour suprême. « Mais le Congrès a déterminé que la cession était nécessaire pour répondre à ses préoccupations bien étayées en matière de sécurité nationale concernant les pratiques de collecte de données de TikTok et ses relations avec un adversaire étranger ».

Les juges de la Cour suprême Sonia Sotomayor et Neil Gorsuch ont rédigé des avis concordants.

La Maison Blanche déclare que la décision d'interdire TikTok sera laissée à Trump

La secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré que la question de la mise en œuvre d'une interdiction de TikTok sera laissée à Donald Trump.

Voici la déclaration complète de la secrétaire de presse :

« L'administration, comme le reste du pays, attend la décision que vient de prendre la Cour suprême des États-Unis sur l'affaire TikTok. La position du président Biden sur TikTok est claire depuis des mois, y compris depuis que le Congrès a envoyé un projet de loi à une majorité écrasante et bipartisane sur le bureau du président : TikTok doit rester accessible aux Américains, mais seulement sous propriété américaine ou sous une autre propriété qui répond aux préoccupations de sécurité nationale identifiées par le Congrès lors de l'élaboration de cette loi. Compte tenu du calendrier, cette administration reconnaît que les mesures d'application de la loi doivent être prises par la prochaine administration, qui entrera en fonction lundi ».

De son côté, TikTok déclare :

« Les déclarations publiées aujourd'hui par la Maison Blanche de Biden et le Département de la Justice n'ont pas apporté la clarté et l'assurance nécessaires aux fournisseurs de services qui font partie intégrante du maintien de la disponibilité de TikTok pour plus de 170 millions d'Américains.

« À moins que l'administration Biden ne fournisse immédiatement une déclaration définitive pour satisfaire les fournisseurs de services les plus critiques en garantissant la non-application de la loi, TikTok sera malheureusement contraint de fermer ses portes le 19 janvier ».


Donald Trump : « En fin de compte, c'est moi qui prendrai la décision »

Le sort de TikTok aux États-Unis est donc désormais entre les mains du président élu Donald Trump, qui était à l'origine favorable à une interdiction de TikTok lors de son premier mandat, mais qui a depuis fait volte-face sur la question. En décembre, Trump a demandé à la Cour suprême de suspendre la mise en œuvre de la loi et de donner à son administration « la possibilité de rechercher une solution politique aux questions soulevées dans cette affaire ».

Dans un message publié sur son application de médias sociaux Truth Social, Trump a écrit que la décision était attendue « et que tout le monde devait la respecter ».

Donald Trump a déclaré à CNN qu'il déciderait de ce qu'il fera de TikTok une fois qu'il aura pris ses fonctions, après que la Cour suprême a confirmé la législation qui l'interdira dimanche, à moins que son propriétaire chinois ne vende ses activités aux États-Unis.

« En fin de compte, c'est moi qui décide, alors vous allez voir ce que je vais faire », a déclaré Trump lors d'une interview accordée à la chaîne. À la question de savoir s'il tenterait d'annuler l'interdiction, si elle entrait en vigueur, Trump a répondu : « Le Congrès m'a donné la décision, c'est donc moi qui la prendrai ».


Plusieurs dans la classe politique se montrent satisfaits de cette décision

Réagissant à la décision de la Cour suprême confirmant l'interdiction de TikTok, le procureur général sortant, Merrick Garland, a déclaré : « La décision de la Cour permet au ministère de la justice d'empêcher le gouvernement chinois d'utiliser TikTok comme arme pour porter atteinte à la sécurité nationale des États-Unis. Les régimes autoritaires ne devraient pas avoir un accès illimité aux données sensibles de millions d'Américains. La décision de la Cour affirme que cette loi protège la sécurité nationale des États-Unis d'une manière conforme à la Constitution ».

La vice-procureure générale, Lisa Monaco, a souligné que la Cour a estimé que la loi ne restreignait pas la liberté d'expression, mais qu'elle répondait plutôt aux menaces que le parti communiste chinois fait peser sur la sécurité nationale : « La décision de la Cour souligne également que la législation bipartisane confirmée aujourd'hui vise à protéger les Américains, et non à restreindre la liberté d'expression. Cette législation vise plutôt à rompre les liens qui unissent TikTok au gouvernement de Pékin, d'une manière conforme à la Constitution. La prochaine phase de cet effort - la mise en œuvre et le respect de la loi après son entrée en vigueur le 19 janvier - sera un processus qui s'étalera dans le temps ».

Tandis que les organismes de défenses des droits humains se disent déçus

L'Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) a qualifié la décision de la Cour suprême dans l'affaire TikTok « d'incroyablement décevante » et a déclaré qu'elle était fondée sur « l'alarmisme et la spéculation ».

En refusant de bloquer cette interdiction, la Cour suprême donne à l'exécutif un pouvoir sans précédent pour faire taire les discours qu'il n'aime pas, ce qui accroît le risque que les invocations générales de « sécurité nationale » l'emportent sur nos droits constitutionnels », a déclaré Patrick Toomey, directeur adjoint du projet de sécurité nationale de l'ACLU.

Dans son avis, la Cour a écrit que la décision contestée du tribunal de première instance d'interdire TikTok était « neutre sur le plan du contenu » parce qu'elle impose « des interdictions spécifiques à TikTok en raison du contrôle de la plateforme par un adversaire étranger et fait de la cession une condition préalable à la poursuite de l'activité de la plateforme aux États-Unis. Elles ne ciblent pas un discours particulier en fonction de son contenu ».

L'avis poursuit en disant que même si la Chine n'a pas encore utilisé son lien avec le propriétaire de TikTok, ByteDance, pour accéder aux vastes quantités de données que TikTok recueille sur ses utilisateurs américains, il s'agit d'une « déduction raisonnable basée sur des preuves substantielles » qu'elle pourrait le faire à l'avenir.

L'ACLU a appelé la prochaine administration à « corriger ou abroger cette législation défectueuse ».

« Le fait de priver les Américains de leur droit à la liberté d'expression ne nous rend pas plus sûrs ; cela met en péril notre démocratie », a déclaré Jenna Leventoff, conseillère politique principale à l'ACLU.


La Cour suprême n'interviendra pas

Plus tôt dans la journée de vendredi, la Haute Cour a rendu un avis non signé dans l'affaire TikTok, sans qu'aucune dissidence n'ait été relevée.

Cette décision, qui fait suite aux avertissements de l'administration Biden selon lesquels l'application représentait une menace « grave » pour la sécurité nationale en raison de ses liens avec la Chine, permettra à l'interdiction de débuter dimanche. Toutefois, de nombreuses questions subsistent quant à la manière dont l'interdiction fonctionnera dans la pratique, car il n'existe aucun précédent de blocage d'une grande plateforme de médias sociaux par le gouvernement américain. De plus, la manière dont le gouvernement appliquera l'interdiction n'est pas claire.

Dans son avis, la Cour suprême reconnaît que pour 170 millions d'Américains, TikTok offre « un moyen d'expression distinctif et étendu, un moyen d'engagement et une source de communauté ».

Toutefois, le Congrès s'est concentré sur les questions de sécurité nationale, ce qui, selon la Cour, a été un facteur décisif dans l'appréciation de l'affaire : « Le Congrès a déterminé que la cession était nécessaire pour répondre à ses préoccupations bien étayées en matière de sécurité nationale concernant les pratiques de collecte de données de TikTok et ses relations avec un adversaire étranger », a écrit le tribunal.

Dans une vidéo de TikTok réagissant à la décision, le PDG de TikTok, Shou Chew, a laissé entendre que l'entreprise poursuivrait ses efforts pour s'assurer que l'application reste accessible aux Américains - peut-être maintenant avec l'aide du président élu Trump.

« Nous nous sommes battus pour protéger le droit constitutionnel à la liberté d'expression pour les plus de 170 millions d'Américains qui utilisent notre plateforme chaque jour pour se connecter, créer, découvrir et réaliser leurs rêves », a déclaré Chew. « Au nom de tout le monde chez TikTok, et de nos utilisateurs à travers le pays, je tiens à remercier le président Trump pour son engagement à travailler avec nous pour trouver une solution qui permette à TikTok de rester disponible aux États-Unis. »

Il a ajouté : « Nous sommes reconnaissants et heureux d'avoir le soutien d'un président qui comprend vraiment notre plateforme, un président qui a utilisé TikTok pour exprimer ses propres pensées et perspectives, en se connectant avec le monde et en générant plus de 60 milliards de vues de son contenu dans le processus. »

Sources : décision de la Cour suprême, ACLU , communiqué de la Maison Blanche

Et vous ?

Quels types de preuves devraient être exigés pour justifier une interdiction de plateforme sur des motifs de sécurité nationale ?

Comment garantir que de telles décisions ne soient pas utilisées comme des outils de protectionnisme économique ou de lutte géopolitique ?

Les plateformes numériques étrangères devraient-elles être soumises à des régulations spécifiques selon leur pays d’origine ?

L’interdiction de TikTok constitue-t-elle une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression des utilisateurs ?

Comment éviter qu’une telle décision ne crée un précédent pour censurer d’autres plateformes, même en l’absence de menace claire ?
Vous avez lu gratuitement 958 articles depuis plus d'un an.
Soutenez le club developpez.com en souscrivant un abonnement pour que nous puissions continuer à vous proposer des publications.

Une erreur dans cette actualité ? Signalez-nous-la !

Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 06/02/2025 à 8:57
Donc, si je comprends ton raisonnement, les médias mainstream que ne regardent pas les jeunes, ont une influence, mais les réseaux sociaux, sur lesquels les jeunes passent la majorité de leur temps, n'a aucun impact sur leurs choix !

Je crois que, quelque soit le support (tv, papier, radio, réseaux sociaux, chaines streaming, ...) il y a volonté d'influencer l'opinion. Si, pour les médias mainstream, c'est plus visible, c'est beaucoup plus insidieux pour les réseaux sociaux qui, de par leurs algorithme peuvent manipuler l'opinion de façon sournoise et quasi transparente. Croire le contraire, c'est être d'une naïveté sans borne (et pour une fois Élisabeth n'y est pour rien )
5  0 
Avatar de Prox_13
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 13:27
Honnêtement, ça fait des années que TikTok est reconnu comme étant au moins aussi néfastes que les réseaux sociaux GAFAMs. Je ne comprends pas pourquoi soudainement, essayer de remettre TikTok en place serait une bonne chose...
3  0 
Avatar de denisys
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 12/02/2025 à 22:26
L'entreprise a annoncé dans un message sur X que son application Android
serait disponible en téléchargement direct sur le site web TikTok.com/download.
C'est une proposition fort aimable !!!
Mais , rien ne prouve que cela ne va pas inspirer un détournement de lien vers un site pirate ou autre arnaques !!!.
3  0 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 30/09/2025 à 8:23
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Un acteur privé comme Oracle doit-il avoir le pouvoir de superviser l’algorithme d’un réseau social fréquenté par des centaines de millions de citoyens ?
Un acteur privé comme Oracle, Meta, Google, Microsoft ou Twitter?
Non
La surveillance algorithmique peut-elle réellement améliorer les comportements en ligne, ou ne fait-elle qu’instaurer une culture de conformité et de peur ?
Peut-on définir améliorer les comportements en ligne?
Je crains fort que nous n'ayons pas la même définition de cette formule.
Qui doit définir ce qu’est un « bon comportement » sur les réseaux sociaux : les gouvernements, les entreprises ou les utilisateurs eux-mêmes ?
Bonne question!
Aucun des trois.
Les professionnels de l’informatique doivent-ils être garants d’un droit à la transparence sur les algorithmes, au même titre qu’un droit fondamental ?
Oui mais quand je parle de professionnels de l'informatique je ne parle pas des patrons des entreprises précitées mais de chaque professionnel de l'informatique, une partie de ceux là sont appelés lanceurs d'alertes aujourd'hui - terme qui semble être sur la pente de l'insulte et la décrédibilisation.
L’avenir des réseaux sociaux passera-t-il par des systèmes centralisés confiés à quelques géants, ou par des architectures distribuées ouvertes à tous ?
Le système des géants est testé depuis quelques décennies, l'expérience nous suggère de nous en méfier.
3  0 
Avatar de solstyce39
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 13/02/2025 à 17:06
Citation Envoyé par Jsaintyv Voir le message
En fait, je n'ai jamais compris que tout le monde se soit asservi autant aux Store.

Aussi bien les clients, que les éditeurs.
- Les clients exposent leurs données personnelles de manière non volontaire.
- Les éditeurs sont soumis au dicta d'un store :
- close sur la gestion des paiements
- close sur la gestion du contenu

TikTok pourrait passer en simple application Web.
Un bouton dans le navigateur proposerait aux utilisateurs d'installer un raccourci sur le bureau.
L'application pourrait continuer d'envoyer des notifications si l'utilisateur le souhaite.

Bref, çà ne changerait pas grand-chose surtout que la majorité des applications dans les téléphones sont juste un wrapper de l'application web.
quand tu es une application "native" tu as accès à beaucoup plus de chose sur l'équipement qui quand t'es wrappé dans un navigateur ... surtout si c'est brave
2  0 
Avatar de DevTroglodyte
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 18/02/2025 à 11:02
Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
L'histoire de base ce n'était pas que le contenu pro Trump était trop visible sur TikTok ?
Je ne vois pas en quoi ça arrangerait la Chine.
Je sais pas, un type qui met l'OTAN au tapis en même pas 1 mois de poste, se met à dos ses plus proches alliés, bousille le peu de bonne image que le pays avait encore auprès des pays "du Sud", ça arrange qui, d'après toi ?
3  1 
Avatar de marc.collin
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 19/09/2025 à 13:13
est-ce que d'autre pays vont exiger la même chose concernant facebook, X, instagram, youtube....?
2  0 
Avatar de Artaeus
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 02/10/2025 à 13:15
Amusant qu'on ait pas eu les mêmes "hypothèses" quand twitter, ou meta supprimait les comptes pro-Républicains en inventant des liens avec la Russie ou aussi pendant le Covid ...
2  0 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 09/10/2025 à 7:49
Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
Si un algorithme montre du contenu pro Trump a un woke, ça ne va pas le faire.
Au contraire.
L'algo a tout intérêt de te présenter
1. ce que tu aimes, parce que tu vas le regarder.
2. Ce que tu détestes, parce que tu vas y réagir et relancer ceux qui aiment ça.

Je pense que c'est ce qui optimise les clicks et le temps de rétention.
2  0 
Avatar de shenron666
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 16/10/2025 à 23:52
Citation Envoyé par TJ1985 Voir le message
Quand on pense au nombre de fois que Trump à sous-entendu que Biden et sa famille étaient corrompus...
sous-entendu ? affirmé même
avec un fils prénommé Barron, il faut croire qu'il veut ramener la monarchie
vu comme il se croit le roi de tout
2  0