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Les actions de Tesla, dans le secteur technologique, chutent après qu'un juge a annulé l'énorme plan de rémunération de 56 milliards de dollars d'Elon Musk,

Le juge révèle des conflits d'intérêts

Le 2024-02-01 10:30:52, par Bruno, Chroniqueur Actualités
Les actions de Tesla ont enregistré une chute significative après qu'un juge de la cour de chancellerie du Delaware a annulé la rémunération de 55,8 milliards de dollars accordée à Elon Musk, PDG de l'entreprise. La décision du juge Kathaleen McCormick a souligné des défauts fiduciaires et des conflits d'intérêts au sein du conseil d'administration de Tesla, remettant en question l'indépendance de ses membres. Cette décision a été saluée par les investisseurs préoccupés par l'influence excessive de Musk sur l'entreprise. Elon Musk, actuellement la deuxième personne la plus riche au monde, doit maintenant trouver un nouveau plan de rémunération, et une possible remise en question de sa position de contrôle chez Tesla semble émerger.


L'annulation de la rémunération a également soulevé des questions sur la gouvernance d'entreprise de Tesla, avec des critiques à l'égard de la présidente du conseil, Robyn Denholm, et des membres du conseil d'administration considérés comme redevables à Musk. La décision pourrait faire l'objet d'un appel devant la Cour suprême du Delaware. En outre, des allégations ont été formulées selon lesquelles Tesla aurait fourni des informations trompeuses aux actionnaires lors du vote sur la rémunération de Musk, ce qui pourrait également avoir des implications juridiques.

Tesla n'est pas seulement une entreprise automobile, c'est aussi une entreprise de logiciels

Tesla ne se limite pas à être une entreprise automobile, mais se positionne également comme une entreprise de logiciels. Un élément central de cette orientation est la réalisation des véhicules autonomes entièrement autoguidés (FSD). Lors de la conférence téléphonique sur les résultats du deuxième trimestre 2023, Tesla a annoncé son intention d'investir plus d'un milliard de dollars d'ici la fin de 2024 dans la construction d'un superordinateur interne nommé "Dojo". En contraste avec ses concurrents, Tesla vise à maîtriser l'ensemble de l'écosystème des véhicules électriques, de la vente à l'entretien jusqu'à la recharge des véhicules.

Cette stratégie a été couronnée de succès, avec General Motors et Ford adoptant la norme de recharge nord-américaine (NACS) de Tesla pour leurs véhicules électriques. Les superchargeurs Tesla représentent actuellement environ 60 % de tous les chargeurs rapides aux États-Unis et au Canada selon le ministère de l'Énergie. Tesla s'efforce également de devenir un leader dans le domaine des superordinateurs, fournissant la puissance de calcul nécessaire aux capacités de conduite autonome.

Le superordinateur Dojo est spécialement conçu pour analyser d'énormes volumes de données, entraîner les modèles d'apprentissage machine (ML) et d'intelligence artificielle (IA) de Tesla, améliorant ainsi le système avancé d'aide à la conduite. Musk aborde ce projet davantage en tant que technologue que constructeur automobile, soulignant l'importance de l'innovation continue pour rester compétitif. La vision par ordinateur, alimentée par des données massives provenant des caméras Tesla, est au cœur des ambitions d'autopilotage de Tesla. Musk prévoit que le Dojo changera de manière significative l'industrie automobile, évoquant même la possibilité de licences pour le logiciel de conduite autonome à d'autres constructeurs, un scénario difficile à imaginer pour des concurrents tels que Mercedes.

Elon Musk, une figure à la fois admirée et critiquée

Elon Musk, qui a atteint le statut d'homme le plus riche du monde en 2021, est une figure à la fois admirée et critiquée. Sa présence sur les réseaux sociaux, en particulier sur Twitter, est une source de controverse en raison de son comportement parfois impulsif et de déclarations qui suscitent des réactions négatives, y compris des problèmes légaux.

Tesla, l'entreprise dirigée par Musk, a été fortement ciblée par des vendeurs à découvert au fil des ans, avec l'équipe Musk qualifiant ces personnes de « haineuses ». Des critiques éminents, tels que Jim Chanos et David Einhorn, ont remis en question le modèle d'entreprise de Tesla, mais les réponses de Musk ont souvent dégénéré en attaques personnelles contre sa personne.

La présence active de Musk sur les médias sociaux, dont X, a eu des conséquences mitigées. Ses tweets sur la privatisation de Tesla à 420 dollars par action en 2018 ont entraîné des enquêtes de la SEC et des poursuites judiciaires, soulevant des doutes sur son jugement et son comportement. La vie personnelle de Musk, notamment ses relations et divorces médiatisés, a souvent éclipsé ses réalisations professionnelles.


Certains observateurs estiment que son engagement intense pour réussir peut avoir des conséquences néfastes sur ses employés, malgré des preuves montrant que ses idées sur le présentéisme au travail ne sont pas toujours liées à la productivité. Les licenciements chez X ont suscité des réactions négatives importantes. Il est suggéré que Musk pourrait améliorer sa gestion des aspects humains de son entreprise, peut-être en déléguant cette responsabilité à un assistant, lui permettant de se concentrer davantage sur l'ingénierie et le développement, ce qu'il affirme apprécier le plus.

La richesse rapide accumulée par Musk, souvent grâce à des subventions publiques, a alimenté des critiques sur l'inégalité croissante des richesses. Certains, dont l'économiste Thomas Piketty, remettent en question l'équité de son succès et appellent à une redistribution des richesses dans une ère où la concentration extrême des richesses est considérée comme ayant des répercussions négatives sur la société.

Les licenciements massifs chez Tesla sont critiqués comme étant dénués d'humanité

En mars 2022, Tesla a renvoyé un ancien employé, John Bernal, qui avait publié des vidéos sur YouTube montrant des incidents liés à la version bêta du système de conduite autonome Full Self-Driving (FSD) de l'entreprise. Tesla lui a également retiré l'accès à la version bêta du FSD sur sa Tesla Model 3 de 2021. Bernal a affirmé que son licenciement était lié à ses vidéos, bien qu'il n'ait pas partagé de secrets d'entreprise ni de produits non commercialisés. Cependant, certaines de ses vidéos démontraient des problèmes de fonctionnement du système.

En juillet 2022, Tesla a licencié près de 200 employés, principalement impliqués dans l'étiquetage des données pour l'entraînement de son système Autopilot basé sur l'intelligence artificielle. Ces licenciements s'inscrivent dans un plan plus large de réduction des effectifs d'environ 10 %, comme annoncé précédemment par le PDG Elon Musk. La majorité des suppressions d'emplois ont touché les bureaux de Tesla à San Mateo, en Californie, où les employés travaillaient sur la fonction Autopilot de la société.

Par ailleurs, Tesla a également licencié 229 employés responsables de l'annotation des données dans le cadre de son équipe Autopilot, et a fermé le bureau de San Mateo, en Californie, où ils étaient basés. Deux anciens employés de la gigafactory de Sparks, dans le Nevada, poursuivent Tesla en justice, alléguant que plus de 500 travailleurs ont été licenciés sans le préavis requis de 60 jours, en violation de la loi fédérale WARN. Ils cherchent à obtenir le statut de recours collectif pour tous les anciens employés licenciés en mai ou juin sans préavis.

Les plaignants, John Lynch et Daxton Hartsfield, déposent cette plainte en soutenant que Tesla a enfreint la loi fédérale WARN, qui exige un préavis écrit de 60 jours avant un licenciement massif. Elon Musk avait initialement annoncé une réduction des effectifs d'environ 10 %, mais a depuis révisé cet objectif à un peu plus de 3 %. La plainte allègue que les employés licenciés sans préavis sont également en droit de réclamer 60 jours de salaire, conformément à la loi WARN.

Les enjeux de l'annulation de la rémunération de Musk et les questions de gouvernance

La chute significative des actions de Tesla suite à l'annulation par un juge de la rémunération de 55,8 milliards de dollars accordée à Elon Musk, PDG de l'entreprise, met en lumière des défauts fiduciaires et des conflits d'intérêts au sein du conseil d'administration de la société. La décision du juge Kathaleen McCormick, remettant en question l'indépendance des membres du conseil, a été bien accueillie par les investisseurs préoccupés par l'influence prédominante de Musk sur l'entreprise. Actuellement la deuxième personne la plus riche au monde, Musk se trouve confronté à la nécessité de concevoir un nouveau plan de rémunération, et cela suscite des interrogations sur sa position de contrôle chez Tesla.

Greg Varallo, représentant juridique de l'investisseur à l'origine du procès, Richard Tornetta, a affirmé que les investisseurs n'avaient pas été informés du fait que Musk avait élaboré le plan lui-même ni que les membres du conseil d'administration étaient redevables à Musk. En février dernier, la juge Kathaleen McCormick a rejeté cet argument, qualifiant cette affirmation d'un « coup fatal ».

Dans sa décision, McCormick a souligné que les défendeurs n'avaient pas réussi à prouver que le vote des actionnaires était pleinement éclairé, notant que la circulaire de sollicitation de procurations décrivait de manière incorrecte les principaux administrateurs comme étant indépendants et omettait de manière trompeuse des détails sur le processus. Elle a également ajouté que bien que les défendeurs aient démontré que Musk était motivé par des objectifs ambitieux et que Tesla avait désespérément besoin de lui pour réussir sa prochaine phase de développement, ces faits ne justifiaient pas le plan de rémunération le plus important de l'histoire des marchés publics.

L'une des principales questions de l'affaire était de déterminer quelle influence Musk exerçait sur Tesla, au-delà de sa simple détention d'actions. Dans son jugement, McCormick a souligné que Musk avait exercé une influence maximale qu'un dirigeant peut avoir sur une entreprise.


L'annulation de la rémunération soulève des préoccupations quant à la gouvernance d'entreprise de Tesla, mettant en cause la présidente du conseil, Robyn Denholm, et d'autres membres du conseil considérés comme redevables à Musk. Cette décision pourrait éventuellement être portée en appel devant la Cour suprême du Delaware. Parallèlement, des allégations suggèrent que Tesla aurait fourni des informations trompeuses aux actionnaires lors du vote sur la rémunération de Musk, ce qui pourrait entraîner des implications juridiques pour l'entreprise.

Dans l'ensemble, cette situation soulève des questions cruciales quant à la transparence, à l'indépendance du conseil d'administration et à la gestion des informations financières au sein de Tesla. Les répercussions de cette affaire pourraient être étendues, tant sur le plan financier que sur celui de la réputation de l'entreprise, mettant en lumière l'importance d'une gouvernance d'entreprise rigoureuse dans le monde des affaires.

Source : Delaware Court of Chancery judge

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Quel est votre avis sur le sujet ?

En quoi cette affaire souligne-t-elle l'importance de la gouvernance d'entreprise dans les grandes entreprises et son impact sur la confiance des investisseurs ?

Voir aussi :

Elon Musk n'est plus l'homme le plus riche au monde en raison d'une baisse considérable de sa fortune, qui ne vaudrait plus aujourd'hui que 148 milliards de dollars

Tesla licencie un employé qui a publié sur YouTube des vidéos d'un accident impliquant le Full Self-Driving, et lui coupe également l'accès à la version bêta du FSD

Tesla licencie 229 employés de l'Autopilote, ferme son bureau de San Mateo et dépose une plainte, d'abord Argo, maintenant Tesla. La conduite autonome se heurte-t-elle à un autre mur ?
  Discussion forum
1620 commentaires
  • 23JFK
    Membre expert
    Ce mot n'a aucune raison d'être.
  • Zefling
    Expert confirmé
    56 milliards, c'est une misère. C'est juste environ 35 000 vies de salaire à 40K$/an ou le salaire de 1 400 000 personnes à 40k$.

    J'avoue que quand je vois ces chiffres, pour moi c'est totalement déconnecté de la réalité.
    Je ne vois pas ce qui justifie une telle rémunération et déconnexion.
  • totozor
    Membre expert
    Envoyé par Zefling
    56 milliards, c'est une misère. C'est juste environ 35 000 vies de salaire à 40K$/an ou le salaire de 1 400 000 personnes à 40k$.

    J'avoue que quand je vois ces chiffres, pour moi c'est totalement déconnecté de la réalité.
    Je ne vois pas ce qui justifie une telle rémunération et déconnexion.
    C'est ça le problème de la plèbe, elle ne se rend pas compte de la valeur des zéros.
    Avec cette somme Musk s'achète chaque jour 1000 fois mon emprunt sur 25 ans.
    C'est très raisonnable au vue de ce que Dieu Musk apporte au Monde.
    Alors que nous ne sommes que fourmis.
    Un peu de respect pour skippi s'il vous plait.
  • Jon Shannow
    Membre extrêmement actif
    Envoyé par JeanYvette
    Si tout ça est nécessaire, c'est simplement parce que les droits des personnes lgbt sont sans-cesses menacés, mais ça, vous n'êtes pas capable de le comprendre.
    Et, tu ne penses pas que, plus on mettra en avant les LGBT, au plus certaines personnes se sentiront offensées, choquées, et finalement les rejetteront ?

    Un dicton dit : "pour être heureux, vivons cacher". Je ne pense pas que ce matraquage médiatique serve la cause qu'elle prétend défendre, bien au contraire.
  • Jon Shannow
    Membre extrêmement actif
    Envoyé par totozor
    Les utilisateurs de réseau ont un pouvoir incroyable : la capacité à contourner les règles.
    Interdisez cis et ils utiliseront autre chose, tous les milieux le font (combien de termes sont utilisés par le milieu complotiste antisémite pour définir les juifs?) (combien de termes sont utilisé par les homosexuels pour se définir?).

    Quant à ceux qui pensent que ce terme n'a pas de raison d'être il devient vite nécessaire pour un échange fluide dans les milieux qui sont (ou se prétendent) inclusifs, rien que pour éviter des paraphrases en continu.
    Ou, tout du moins, il a autant de raison d'être que blanc pour définir la couleur de peau d'une personne.
    Mais je suis d'accord, le jour où ma transphobie aura disparue nous pourrons archiver ce mot parmi les mots obsolètes. (J'ai hâte)
    Heu ! Si je comprends bien, ce terme signifie une personne normale, qui n'a pas été contre la nature vis à vis d'elle même. Il n'a donc, en effet, aucun intérêt.
  • Jon Shannow
    Membre extrêmement actif
    Envoyé par JeanYvette
    Il est toujours aussi drôle de voir tous ces commentaires, vantant un réseau de "professionnels" qui pleurent dès que ça parle un peu de LGBT et surtout de Trans. Messieurs, peut-être qu'il serait temps d'avancer dans la vie et d'arrêter de pleurer parce que des gens veulent vivre différemment de vous ?
    De plus, la transphobie est toujours un délit et donc il y aura des petits signalements Pharos par rapport à certains commentaire, ça ne change pas.

    Et ceux qui parlent de "réalité physique", il serait temps d'ouvrir de vrais livres mis à jours, les personnes trans ne vont, à aucun moment, envers la biologie, c'est d'ailleurs prouvé. Et quand bien même, le fait que ça fasse aussi mal à votre égo est incroyable, ca vous trouerait tant le cul que ça de laisser les personnes vivre et être heureuses ?

    Allez, déchainez vous bien en mettant votre pouce rouge le plus furibond !
    Coeur avec les doigts
    Personnellement, j'en ai rien à f**** des LGBT+++. Chacun vit sa vie. Par contre, ce qui me gène, c'est la manière dont le lobby LGBT, si puissant dans le monde des médias, impose ce mode de vie (qui, excuses-moi, mais n'est pas naturel). Pas une série, pas un film, pas une pub sans que soit mis en avant, qui un couple homo, qui un trans, qui un couple mixte, ... Bref, ce qui est une minorité dans la vie, devient la règle dans les médias. On a l'impression qu'être homosexuel, trans, c'est l'avenir, et que les hétéros bien dans leur sexe sont des parias rétrogrades d'un monde ancien ou un homme était un homme et une femme, une femme.

    Donc, pas de problèmes pour que chacun vive sa vie de la manière qu'elle le souhaite (dans le respect des autres et de la loi) mais qu'on oublie pas que, s'il n'y avait de couples homme/femme, il n'y aurait pas d'humanité. Et même si aujourd'hui, la sciences permet de faire des enfants in vitro, c'est pas aussi simple que cela, et ça nécessite un gros investissement en temps, en souffrances et en argent.
  • 23JFK
    Membre expert
    Envoyé par wistiti1234
    Ce terme vise à stigmatiser les personnes normales, c'est quand même fort ça.

    Mais soit. Dans ce cas là, organisons-nous en collectifs, afin défendre les droits des personnes naturelles, et éviter que la majorité ne se retrouve un jour discriminée

    C'est plutôt que ce terme tente d'escamoter la dimension pathologique des "lgbt..." ainsi, en y affrontant "cis-genre", les militants évincent la confrontation "individu normal" versus "individu anormal".

    Envoyé par JeanYvette
    Il est toujours aussi drôle de voir tous ces commentaires, vantant un réseau de "professionnels" qui pleurent dès que ça parle un peu de LGBT et surtout de Trans. Messieurs, peut-être qu'il serait temps d'avancer dans la vie et d'arrêter de pleurer parce que des gens veulent vivre différemment de vous ?
    De plus, la transphobie est toujours un délit et donc il y aura des petits signalements Pharos par rapport à certains commentaire, ça ne change pas.
    Mouais... Sauf, qu'en tant que personne à peu près normale, je ne passe pas mon temps à revendiquer ma sexualité, à en faire étalage sur la place publique, à en faire l'alpha et l'oméga de ma vie (y compris professionnelle). La Transphobie un délit, mais bien sûr... La discrimination est un délit, et c'est déjà plus que suffisant.

    Envoyé par JeanYvette
    Et ceux qui parlent de "réalité physique", il serait temps d'ouvrir de vrais livres mis à jours, les personnes trans ne vont, à aucun moment, envers la biologie, c'est d'ailleurs prouvé. Et quand bien même, le fait que ça fasse aussi mal à votre égo est incroyable, ca vous trouerait tant le cul que ça de laisser les personnes vivre et être heureuses ?

    Allez, déchainez vous bien en mettant votre pouce rouge le plus furibond !
    Coeur avec les doigts
    Eux, sans médecine moderne, et la complaisance malsaine (car intéressée idéologiquement et/ou financièrement) de certains médecins : Pas de "trans" qui pour les plus militants d'entre-eux, sont clairement dans le déni de l'absolue suprématie de la biologie qui est la seule réalité et bien physique... Et quand on est heureux, on ne passe pas son temps à faire chier la majorité (qui globalement n'en a rien à carré de leurs lubies sexuelles pourvu qu'elles restent dans la chambre à coucher des personnes concernées).
  • 23JFK
    Membre expert
    Envoyé par Ryu2000
    ... Parce qu'il y a forcément des homosexuels qui n'aiment pas le lobby LGBT...
    Ouais, j'ai des voisins comme ça, sont pacsés, et on s'entend bien. Ils n'ont aucune envie d'exposer ou que l'on se mêle de leur vie intime... Pas plus que des gens normaux, en fait.
  • OrthodoxWindows
    Membre émérite
    Les politiciens Australiens ferait bien de balayer devant leurs porte avant de donner des leçons.

    L'Australie n'a pas de constituions pour protéger les citoyens (1,2,3)
    Désormais, la dérive autoritaire n'a plus beaucoup de limites : Il s'agit du 2ème pays qui a été le plus covidiste au monde après la Chine (tentative de rendre obligatoire les applis de tracage, objectif zéro covid avec confinement d'une ville pour un cas, des manifestation anti-confinement et anti-pass on été réprimé dans le sang, tous les moyens de surveillances automatisés on été déployés...), le chiffrement est presque totalement interdit, le gouvernement peut modifier (légalement) des données privées, des militants écologistes doivent présenter chaque semaine aux autorités leurs smartphones, la reconnaissance faciale est largement déployé, les aborigènes ont toujours aussi peu de droits, le gouvernement peu décider de l'expulsion de migrants sous le secret... Tout ce que je dit est sourcé.
  • noremorse
    Membre habitué
    Bon débarras